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Un village français (2009) transparent

Un village français (2009)   © Conseil départemental du Val d'Oise

Dany Boon dans Le Lion   © DR

Tournage de Mumu   © DR

Val-d'Oise : Terre de Cinéma

En 1901, le premier film réalisé dans le Val-d'Oise mettait en scène des Patineurs sur le lac d'Enghien. En 2011, le 1000e a été tourné sur la place de l'Auditoire à Montmorency : Pauvre Richard conte les mésaventures d'un gagnant du gros lot à la loterie nationale.
Aujourd'hui, ce sont plus de 1 600 films et téléfilms qui ont été en partie tournés dans le département.

Le film du jour

BRI (2023)
BRI 2023
 

Michel Serrault, l'adepte de l'Epte !

Michel Serrault, l'adepte de l'Epte !
© Tous droits réservés
Michel Serrault est né le 24 janvier 1928 à Brunoy (Seine-et-Oise) et mort le 29 juillet 2007 à Vasouy (Calvados).

Après avoir hésité à être prêtre, il intègre l'école de la rue Blanche en 1944, mais échoue à entrer au Conservatoire. En 1946, il signe son premier contrat pour une tournée en Allemagne, où il joue Les Fourberies de Scapin, de Molière. En 1952, l'acteur rencontre Jean Poiret aux matinées classiques du théâtre Sarah-Bernhardt. Le duo collabore sur les planches et au cinéma, notamment dans Assassins et voleurs de Sacha Guitry. En 1973, ils triomphent dans La cage aux folles, pièce de Poiret adaptée au cinéma en 1978. Le rôle de "Zaza Napoli" vaut à Michel Serrault son 1er César.

Avec ses premiers cachets, le comédien acquiert une maison à Dampsmesnil (Eure), sur les bords de l'Epte. Dans les années cinquante et soixante, il se ressource là, avec sa famille, entre chaque tournage. Il aime tout particulièrement se rendre à Montreuil-sur-Epte, de l'autre côté de la rivière, en franchissant le pont d'Aveny, joli ouvrage en pierre datant des XVIIIe et XIXe siècles. Il se rend aussi régulièrement à La Roche-Guyon.

Plus tard, souhaitant se lancer dans l'élevage, il se sépare de sa maison du Vexin pour s'installer dans un ancien manoir du Perche. Ce qui ne l'empêche pas de se rendre toujours dans le Val-d'Oise pour y tourner des films. Il a tourné près d'une vingtaine de longs-métrages dans le département, dont le mémorable Du mou dans la gâchette, de Louis Grospierre - où il poursuit Bernard Blier et Jean Lefebvre déguisés en moines à l'abbaye de Royaumont -, ou Le Libertin de Gabriel Aghion, au château de Villette, et le Docteur Petiot de Christian de Chalonge à Pontoise.

Il finit sa vie près de Honfleur, où il enterré aujourd'hui.

Claude Brasseur, le Vexinois d'adoption

Claude Brasseur, le Vexinois d'adoption
© Tous droits réservés
Claude Brasseur est parti le 22 décembre 2020 rejoindre le paradis du cinéma. Victime d'un AVC quelques mois auparavant, sa santé était devenue fragile. Né le 15 juin 1936 à Neuilly-sur-Seine, il fut l'immortel père de Vic dans La Boum ou membre de la bande de potes d'Un éléphant ça trompe énormément. L'acteur s'était installé en 1976 à Vauréal.

« Pendant la guerre, mes parents m'ont envoyé en Corrèze, à côté de Brive, et cette époque m'a donné le goût de vivre à la campagne. Un jour, totalement par hasard, j'étais chez un copain et dans la conversation, j'ai annoncé que je cherchais une maison. C'était le dimanche de Pâques 1975. Paul Gégauff, scénariste de Chabrol, m'a répondu : Ça tombe bien, j'habite une maison que mon propriétaire veut vendre pour une raison de succession. Après le déjeuner, nous sommes allés visiter l'endroit et, en garant la voiture ici, j'ai crié c'est là ! car tout correspondait exactement à ce que je voulais. Les circonstances ont été heureuses, nous sommes arrivés au moment où l'autoroute ouvrait. »

Depuis, l'acteur se partageait entre Paris et les bords de l'Oise. Entre deux répétitions pour le théâtre et le cinéma, il passait ses après-midis à se balader à vélo ou sur sa moto, entretenait ses précieuses voitures de course, cueillait les fruits de son verger et produisait sa propre eau-de-vie chez le bouilleur de cru du coin.

« J'aime aussi me promener dans le parc du château, sur les hauteurs de Pontoise. Et, j'adore surtout aller vers Auvers-sur-Oise et au-dessus de Nesles-la-Vallée. Dans le Vexin, nos balades préférées nous emmènent à Sagy, Vigny ou Magny-en-Vexin. Plus loin, on aime surplomber la Seine en pédalant sur la route des Crêtes. Et surtout, il y a de très bons bistrots dans la région… »

Claude Brasseur venait aussi volontiers à Mériel pour visiter le musée Jean Gabin - acteur qu'il admirait - ou pour présenter un de ses films.

Michel Magne, le compositeur psychédélique

Michel Magne, le compositeur psychédélique
© LDME15
Michel Magne, né le 20 mars 1930 à Lisieux (Calvados) et mort le 19 décembre 1984 à Cergy (Val-d'Oise), est un compositeur, musicien français et interprète.

En 1962, Michel Magne (1930-1984) achète le château d'Hérouville-en-Vexin. Il y aménage un studio d'enregistrement fréquenté par les plus grandes vedettes du rock et de la pop, des Pink Floyd à Elton John en passant par David Bowie, Véronique Sanson, Johnny Hallyday ou Jacques Higelin. Régulièrement, il improvise des concerts dans l'église et tous les week-ends, organise des fêtes grandioses dont ses voisins gardent un souvenir mémorable.

Dans ses compositions psychédéliques, Magne expérimente des champs musicaux nouveaux (musique inspirée par les réactions du corps au son, invention de la musique infrasonore que l'on ressent à défaut de l'entendre, étude des ondes sonores et des courants magnétiques). Entre 1955 et 1975, il signe la musique originale de 75 films. Certains relèvent d'un cinéma d'auteur, comme Compartiment tueurs (Costa-Gavras, 1965) ou Belle de jour (Luis Buñuel, 1967), d'autres servent un cinéma populaire, comme la série des Angélique (Bernard Borderie, 1965-1968) ou Les Tontons flingueurs.
Article
Michel Magne, le compositeur psychédélique
Michel Magne, le compositeur psychédélique
long-métrage
Fantômas (1964)
Fantômas 1964
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L'Indic (1983)
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Les Barbouzes (1964)
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Les Tontons flingueurs (1963)
Les Tontons flingueurs 1963
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Mélodie en sous-sol (1963)
Mélodie en sous-sol 1963
long-métrage
Moi y'en a vouloir des sous (1973)
Moi y'en a vouloir des sous 1973
long-métrage
Un mari à prix fixe (1965)
Un mari à prix fixe 1965

Immortel Jean Gabin !

Immortel Jean Gabin !
© Tous droits réservés
Jean Gabin est né le 17 mai 1904 et mort le 15 novembre 1976, à l'âge de 72 ans. Il est le septième enfant d'un chanteur d'opérettes et d'une plumassière du quartier du Sentier qui s'est reconvertie en artiste de café-concert, avant de renoncer à sa carrière en devenant mère de famille. Son enfance, il la passe à Mériel, dans une maison de la grand'rue, face à la gare. De la fenêtre de sa chambre, le garçon regarde filer les trains au fond du jardin. Quand il sera grand, il veut être conducteur de locomotive ou fermier, surtout pas chanteur comme son père : il déteste apprendre un texte par cœur et le réciter en public.

En 1922 pourtant, l'administrateur des Folies- Bergères l'engage comme figurant. Six ans plus tard, Mistinguett (1875-1956) lance sa carrière...
Article
Jean Gabin, le p'tit gars de Mériel
Jean Gabin, le p'tit gars de Mériel
long-métrage
Chiens perdus sans collier (1955)
Chiens perdus sans collier 1955
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Deux hommes dans la ville (1973)
Deux hommes dans la ville 1973
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Gas-oil (1955)
Gas-oil 1955
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Le Baron de l'écluse (1960)
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Le Gentleman d'Epsom (1962)
Le Gentleman d'Epsom 1962
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Le Jardinier d'Argenteuil (1966)
Le Jardinier d'Argenteuil 1966
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Le Pacha (1968)
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Le Soleil des voyous (1967)
Le Soleil des voyous 1967
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Mélodie en sous-sol (1963)
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Rue des Prairies (1959)
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Voici le temps des assassins (1955)
Voici le temps des assassins 1955

L'Exposition Jean Gabin prolongée

L'Exposition Jean Gabin prolongée
© Tous droits réservés
Devant son immense succès, la grande rétrospective consacrée à Jean Gabin est prolongée jusqu'au dimanche 15 janvier. Vous êtes déjà plus de 25.000 à avoir découvert la vie et la carrière de cette icône du cinéma, Jean Moncorgé alias Gabin, qui a incarné la France et le XXe siècle plus qu'aucun autre acteur.

Cette rétrospective raconte Gabin de son enfance aux Trente Glorieuses, de sa famille à Boulogne-Billancourt aux célèbres studios de la ville où il détient le record de films tournés, de ses débuts sur scène à ses rôles légendaires, de la 2e DB à sa passion pour la terre...

L'histoire de Jean Gabin est un peu la nôtre : son enfance sur les bords de l'Oise, puis chez ses grands-parents à Boulogne-Billancourt ; ses débuts dans son "métier de saltimbanque" ; ses rôles légendaires, de la crise des années 1930 au du réalisme poétique ; son engagement militaire lors la Seconde Guerre mondiale ; la transformation du pays après-guerre... sans oublier un véritable attachement à la terre et aux chevaux.

Son jeu inimitable demeure gravé dans notre mémoire collective. Du flic au truand, du cheminot au chef de clan, du légionnaire au banquier, Gabin a incarné tous les Français avec puissance et sobriété. Un siècle de notre société, représenté par ses films les plus emblématiques, dont 26 furent tournés dans les illustres studios de Billancourt (La Grande Illusion, Le Jour se lève…) et de Boulogne (Touchez pas au grisbi, Le Chat, Deux hommes dans la ville…). Conçue en étroite collaboration avec la famille de l'acteur et les partenaires associés à la Ville, l'exposition se décline sur 700 m2. Elle fait la part belle aux collections issues du musée Jean Gabin de Mériel, actuellement en travaux, qui rouvrira ses portes au printemps 2024, à l'occasion des 120 ans de la naissance de l'artiste.

Jusqu'au 15 janvier 2023 au Musée des Années 30 (Espace Landowski)
Mardi au dimanche de 11h à 18h : 7€. Tarif réduit : 5€ (voir ici conditions et gratuité)
Entrée gratuite pour tous le 1er dimanche du mois.
Visite guidée à 14h30 les dimanches 13 et 27 novembre, 11 décembre et 8 janvier

Agnès Jaoui, fille de Sarcelles

Agnès Jaoui, fille de Sarcelles
© Tous droits réservés
Agnès Jaoui, née le 19 octobre 1964, a deux ans quand sa famille, rapatriée de Tunisie, arrive à Sarcelles après quelques mois passés en Israël :

« C'est une ville où j'ai été très heureuse, raconte-telle. Les clichés sur la banlieue ne correspondent pas à l'image beaucoup plus vivante et joyeuse qui me vient à l'esprit. Je me souviens de la place André-Gide où je jouais pendant des heures avec les copines du quartier. Les Flanades pour moi, c'était la grande sortie. Il y avait aussi la balade du dimanche à Enghien. »

Initiée à l'art dramatique au conservatoire de la ville, elle poursuit ses études secondaires au lycée Henri-IV à Paris. Inscrite au cours Florent à 15 ans, elle rejoint ensuite l'école de Patrice Chéreau au Théâtre des Amandiers de Nanterre.

Après une brève apparition dans Le Faucon (Paul Boujenah, 1983), en partie tourné à Frémécourt, sa carrière débute avec Hôtel de France (1987), adapté par Chéreau d'une pièce d'Anton Tchekhov. La même année, elle interprète avec Jean-Pierre Bacri L'Anniversaire d'Harold Pinter au théâtre Tristan-Bernard, dans une mise en scène de Jean-Michel Ribes.

Dès lors, le duo vole de succès en succès. Il écrit la pièce Cuisine et dépendances, que Philippe Muyl porte au cinéma en 1992. Le César du meilleur scénario récompense en 1994 l'adaptation d'Intimate Exchanges d'Alan Ayckbourn pour Smoking/No smoking (Alain Resnais, 1993). Rebelote en 1997 pour Un air de famille (Cédric Klapish, 1996), en 1998 pour On connaît la chanson (Alain Resnais, 1996) – chacun des deux duettistes recevant par-dessus le marché une statuette en tant que meilleur second rôle –, puis en 2001 pour Le Goût des autres – qui lui vaut en plus une double nomination au titre de meilleure réalisatrice et de meilleure actrice dans un second rôle, ainsi qu'une nomination à l'Oscar du meilleur film étranger. Le jury du Festival de Cannes 2004 décerne à Jaoui et Bacri le Prix du meilleur scénario pour Comme une image, son deuxième film en tant que réalisatrice. Bien qu'ils se soient séparés en 2012, ils continuaient à cosigner des scénarios qu'elle réalisait (Au bout du conte, 2012 ; Place publique, 2018). Son ancien complice est décédé le 18 janvier 2021.

Mère adoptive d'une fille et d'un garçon, Agnès Jaoui est une femme engagée dans l'aide à l'enfance, la solidarité avec les réfugiés et la reconnaissance des intermittents du spectacle.
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Aurore (2006)
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Le Cousin (1997)
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Le Faucon (1983)
Le Faucon 1983

Exposition : Cinoche, du cinéma forain à écrans VO

Exposition : Cinoche, du cinéma forain à écrans VO
© Le Lutétia d'Argenteuil dans les années 1920
D'une diffusion essentiellement foraine dès 1910 aux multiplexes gigantesques en passant par les salles indépendantes, le cinéma n'a jamais cessé de se réinventer au rythme des différents courants artistiques et des évolutions technologiques.

La chute de la fréquentation des salles obscures, depuis la pandémie, nous démontre à quel point il est essentiel de soutenir plus que jamais cet art et ses moyens de diffusion, notamment les cinémas indépendants, qui participent à leur manière au dynamisme de leurs quartiers. Dans le Val d'Oise, ces derniers, regroupés au sein de l'association Écrans VO, se mobilisent pour reconquérir le public grâce à une véritable éducation à l'image.

L'exposition « Cinoche, du cinéma forain à Écrans VO », qui sera présentée du 17 septembre 2022 au 24 février 2023, aux Archives départementales (entrée libre), en est l'un des nombreux symboles. Cette plongée dans le temps et dans nos souvenirs vous propose de découvrir cette grande histoire. À travers des témoignages d'anciennes Valdoisiennes et d'anciens Valdoisiens, ce sont autant de paroles, d'expériences et d'émotions récoltées qui vous révèleront les liens qui ont toujours unis les habitants avec les cinémas de proximité.

Raconter leur histoire, c'est se rappeler combien ils sont nécessaires à la transmission de la diversité culturelle, en tant que lieu de plaisir partagé, de passion commune…
Ils sont indispensables au vivre ensemble.
Vive le cinéma !
Article
Ecrans VO
Ecrans VO

Micheline Presle a cent ans !

Micheline Presle a cent ans !
© Tous droits réservés
Micheline Presle est née le 22 août 1922 à Paris. Dernière grande dame encore vivante du cinéma français, elle vit actuellement à la Maison nationale des artistes de Nogent-sur-Marne. Mais, elle a longtemps résidé notre région, à côté de Vétheuil. Une partie du Vexin qu'elle appréciait tout particulièrement :

« Je ne connaissais pas du tout le coin », raconte-t-elle. C'est un vrai mouchoir de poche, coincé entre les falaises et la Seine. J'ai eu un coup de cœur. La route qui mène à La Roche-Guyon est magnifique, avec ses arbres, sa lumière… J'ai eu la chance de trouver quelque chose avec un jardin, en contrebas de la route des Crêtes. Très vite, j'y ai planté des petits arbres fruitiers. »
Article
Micheline Presle dans le Vexin
Micheline Presle dans le Vexin
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Boule de suif (1945)
Boule de suif 1945
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Rue Mandar (2012)
Rue Mandar 2012

L'Ami Trintignant

L'Ami Trintignant
© Tous droits réservés
Jean-Louis Trintignant nous a quittés le 17 juin 2022 à Collias (Gard), à l'âge de 91 ans. Il a reçu un Ours d'argent du meilleur acteur au Festival de Berlin pour L'Homme qui ment en 1968 et un prix d'interprétation masculine au Festival de Cannes 1969 pour Z. Il a aussi reçu en 2013 le César du meilleur acteur pour Amour.

L'inoubliable interprète d'Un homme et une femme a tourné plus d'une dizaine de films dans le Val d'Oise, dont les plus emblématiques sont Partir revenir, de Claude Lelouch à la plage de l'Isle-Adam, et Le Bon plaisir, de Francis Girod, à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle.

A noter également Le Secret de Robert Enrico au fort de Cormeilles-en-Parisis et Les Violons du bal de Michel Drach à Nesles-la-Vallée. Il avait aussi donné la réplique à Romy Schneider à Cormeilles-en-Vexin pour Le Mouton enragé de Michel Deville.
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Janis et John (2003)
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L'Agression (1975)
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Un héros très discret (1996)
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Michel Le Royer et Dominique Paturel

Michel Le Royer et Dominique Paturel
© Tous droits réservés
Michel Le Royer et Dominique Paturel ont obtenu leur premier succès public en 1963 dans Le Chevalier de Maison-Rouge, réalisé par Claude Barma, avec la musique légendaire d'Antoine Duhamel, le compositeur de Valmondois.

Le feuilleton, librement adapté d'Alexandre Dumas, avait rencontré un tel succès lors de sa diffusion sur la RTF qu'une sorte de suite avait été proposée aux téléspectateurs lors des fêtes de Noël de la même année. On y retrouvait Lindet (Michel Le Royer), Lorin (Dominique Paturel) et Geneviève Dixmer (Anne Doat) se cachant dans la grange à Dîmes de Vaulerent, à l'Est du Val d'Oise.

Si les deux acteurs vont ensuite avoir une carrière distincte - tous les deux jouant notamment le rôle de D'Artagnan dans deux séries différentes - dont celle de Claude Barma avec Dominique Paturel fut en partie tournée à l'abbaye de Royaumont - ils seront pourtant indissociables de ce feuilleton mettant en scène la tentative d'évasion de la reine Marie-Antoinette conspirée par le chevalier de Maison-Rouge.

Hasard du calendrier, les deux acteurs nous ont quittés à quelques jours d'intervalle, le 25 février 2022 pour Michel Le Royer et le 28 février 2022 pour Dominique Paturel. Sans être devenus de grands acteurs du cinéma, ils ont marqué indubitablement l'histoire de la télévision.
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50 ans de cinéma dans le Val-d'Oise

Patrick Glâtre - 50 ans de cinéma dans le Val-d'Oise

Publié par le département du Val-d'Oise dans le cadre de l'anniversaire de son premier demi-siècle d'existence, 50 ans de cinéma dans le Val-d'Oise illustre l'attractivité du département en matière de tournage cinématographique. Patrick Glâtre, chargé de mission Images & Cinéma au Conseil départemental, a pour cela sélectionné 110 longs-métrages, émissions ou séries télévisées, documentaires... de ces cinq dernières décennies, collection complétée de portraits de personnalités du métier liées, de cœur ou de par leur parcours, au territoire.

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