Deux épisodes de la vie du peintre Tsugouharu Foujita (Jô Odagiri), d'abord au moment des Années folles en France puis le retour dans son pays. Deux époques entre fantaisie et légèreté de sa période française et noirceur des années de guerre.
Anecdotes de tournage
Premier Japonais à avoir reçu le Prix Georges-Sadoul pour son film Pour Kayako (1984), Oguri s'est également vu décerner le Grand Prix du jury et le Prix de la Critique internationale au Festival de Cannes pour L'Aiguillon de la Mort (1990).
Son dernier film, Foujita, sorti après 10 ans d'absence, est une réalisation franco-japonaise d'une beauté sereine qui n'a encore jamais été présentée en France. Le film dépeint une partie de la vie encore peu connue de Foujita, célèbre artiste de l'École de Paris qui avait fait de la France sa patrie d'adoption.
Pour une séquence, une brocante a été installée sur la place de la Harengerie, à Pontoise, censée être à Paris. Tout un ensemble de meubles et vieux bibelots ont été installés sur les pavés.