Attachée à la composition des plans, Jennifer Devoldère voulait un film visuel avec deux atmosphères distinctes, une mise en scène montrant la solitude de chacun au sein même de leur univers et une composition équilibrée à l'intérieur des plans. Abordant l'image par l'émotion, elle s'est efforcée d'apporter de "la fantaisie par les cadres" :
« L'espace doit renvoyer quelque chose, soit sur le personnage, soit sur sa vie, ou sur la façon dont les êtres vont s'y mouvoir et s'y exprimer. Le lieu est le premier élément qui raconte visuellement l'histoire. Ensuite, viennent les personnalités à l'intérieur du lieu, et de là naît une cohérence », développe-t-elle.
L'équipe s'est arrêtée plusieurs jours à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle, en juillet 2007, pour y tourner les scènes où Jack arrive en France ou repart aux États-Unis.