Albert Dupontel avait envie d'une tragédie burlesque, tout en commentant, à sa façon comme toujours, le monde qui l'environne.
« Pour cette histoire, je suis parti de l'idée d'opposer deux « combles », quelqu'un qui veut vivre mais qui ne peut pas, à quelqu'un qui pourrait vivre mais qui ne veut pas. »
Le cinéaste semble tisser une thématique commune entre ses différents films, de
Bernie à
Adieu les cons, autour de la filiation et aussi de la maternité :
« Sans que je sache pourquoi. Ces thèmes m'attirent comme un reset permanent de mon disque dur personnel et pourtant j'ai eu une enfance super. Aimé et éduqué, mais peut-être dans une autre vie, ça s'est moins bien passé ? Le prochain sujet aura un autre décorum mais ses ressorts dramatiques seront aussi ancrés dans ce thème. »